Avignoun
Avec des traces qui démontrent que le site a été occupé dès le Néolithique, cité par Artemidore qui explique que le nom éthique a deux interprétations possibles, ville du vent violent ou Seigneur du fleuve, devenue cité pieuse, ville fortifiée, un presque parallélogramme de 1,4km de long et de 1,3km de haut, il a été arpenté au moins pendant 3 décennies.
Après avoir exploré différents aspects, se pencher sur son architecture et essayer de montrer ce qui est l’environnement visuel quotidien, ça vaut le détour.
Les bâtiments classés, au nombre de 150 sont repartis pour la plupart à l’intérieur des remparts, à l’extérieur on a tout de même quelques surprises, une paire d’églises, des fermes, un lycée moderniste, un bâtiment industriel.
Photographier, mémoriser ce qu’on côtoie au quotidien n’est pas évident, car au-delà d’un certain seuil
toute fraicheur disparait, mais comment se passer de ce rectangle parcouru tant des fois ?
Et combien de fois le regard s’émerveillera en observant son environnement de tous les jours ?
With traces that show that the site was occupied from the Neolithic period, quoted by Artemidore who explains that the ethical name has two possible interpretations, city of the violent wind or Lord of the river, become pious city, fortified city, an almost parallelogram of 1 .4km long and 1.3km high, it has been surveyed for at least 3 decades.
After exploring different aspects, looking into its architecture, and trying to show what is the daily visual environment, it is worth a visit.
The listed buildings, 150 in number, are mostly distributed inside the ramparts, outside there are still a few surprises, a pair of churches, farms, a modernist high school, an industrial building.
Photographing, memorizing what we encounter daily is not easy, because beyond a certain threshold all freshness disappears, but how to do without this rectangle travelled so many times?
And how many times will the gaze be amazed by observing its everyday environment?