This is the image that caught my eye.

Associate the painting of a genius with a social media for which skepticism and total circumspection prevail since longtime is much more than bad taste.

The image was introduced as explicit answer after Christopher Lasch text (also used by several authors) and it was there to start the debate, -the sprinkler sprayed- for the use of social media. And just below it were of course the usual harsh comments of various specialists (translation, social sciences etc.)

Considering the almost 2 billion users who offer their image, their daily lives, tastes and preferences, political opinions, judgments on everything and anything, just to be better served by those who use their free of charge data, while they cultivate narcissism, exhibitionism and culture of its own ego, on the middle of an advertising machine, propose the own version took shape.



C’est l’image qui a attiré mon attention.

Associer le tableau d’un genie avec un media social dans lequel règne depuis longtemps le scepticisme et la circonspection la plus totale c’est plus que de mauvais gout.

L’image publiée renvoyait la balle en résumé à un texte de Christopher Lasch (utilisé d’ailleurs par plusieurs auteurs) et il était là pour amorcer le débat, l’arroseur arrosé en somme sur l’usage des reseaux sociaux. En dessous suivaient les commentaires acerbes habituels de différents spécialistes (traduction, sciences sociales etc.)
En considérant les presque 2 milliards d’utilisateurs lesquels offrent leur image, leur quotidien, gouts et préférences, opinions politiques, jugements sur tout et n’importe quoi, pour mieux être servis en cultivant leur narcissisme, exhibitionnisme et culture de son ego l’envie de la propre version du thème a surgi.
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