Listening to Barney Wilen's album Le grand Cirque aroused curiosity for Lorenzo Bandini, the F1 races of the '60s, being discreet for the common man and almost falling into a myth.


50 years later, Auto Jazz seems to have come from another planet, the 100 laps of a GP with brakes or steering without any assistance can be seen as a torture, the straw bales for protection, worse than the Apollo 1 capsule pressurized with pure oxygen.
There is, however, one thing common between Barney Wilen and Lorenzo Bandini. Both are meteors.



C’est l’écoute de l’album Le grand Cirque de Barney Wilen qui est à l’origine de la curiosité suscitée pour Lorenzo Bandini, la F1 des années ’60 étant secrète pour le commun mortel et relevant presque de la mythologie.


50 années après Auto jazz semble être venu d’une autre planète, les 100 tours d’un GP sans freins ni direction assistée une torture, les bottes de paille pour protection dignes de la capsule d’Apollo 1 pressurisée à l’oxygène pur.
Il y a cependant une chose commune chez Barney Wilen et Lorenzo Bandini. Tous les deux sont des météores.

 
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